Le ministère chargé du travail et de l’emploi avec ses partenaires sociaux a organisé, hier lundi, à Moroni, un atelier de validation de l’analyse situationnelle rapide en lien avec le climat, l’environnement et l’emploi décent pour une transition juste vers l’économie bleue aux Comores. C’est une manière de faire une étude approfondie sur la pêche et promouvoir également l’économie nationale.
Un atelier de validation de l’analyse rapide des liens entre le climat, l’environnement et l’emploi décent pour une transition juste vers une économie bleue aux Comores a eu lieu hier. C’est une initiative du ministère chargé du travail et de l’emploi avec ses partenaires sociaux tels que l’OIT, la CTC et le Modec pour le projet « développement de l’économie bleue aux Comores ». Le directeur de cabinet du ministère de l’emploi, Mchangama Ibrahim, a précisé les avantages de cet atelier. « Cet atelier est une formation des participants dans le but de savoir comment travailler avant de faire la pratique. Car il faut faire une étude approfondie du lieu et du climat concernant le cas de la pêche en termes de fumage et de séchage des poissons. À Anjouan, il y a des gens qui fabriquent des sardines. C’est en fait, parcourir pour créer un emploi. Il faut faire une cet atelier permet également aux étudiants de master 2 de pouvoir continuer leurs études supérieures », a déclaré Mchangama Ibrahim. Et lui d’ajouter : « en cas d’économie bleue ou verte, il existe un programme d’accompagnement ».
Le ministre de la jeunesse et de l’emploi, Takiddine Youssouf a manifesté son engagement et son dévouement pour atteindre les objectifs du projet au profit des comoriens. « Le ministère en charge du travail et de l’emploi que j’ai l’honneur de diriger depuis pratiquement un an, en collaboration avec les partenaires sociaux, n’avons ménagé aucun effort pour signer ce projet que nous espérons pouvoir répondre aux besoins des comoriennes et comoriens entreprenant dans le domaine de la pêche et promouvoir également l’économie nationale », a indiqué le ministre de l’emploi.
Abdoulandhum Ahamada