ALFAJR QUOTIDIEN – Journal d'information quotidien comorien

Après deux semaines de formation sur l’évaluation externe des compétences des microscopistes spécialisées dans le paludisme, la formation est clôturée, vendredi dernier, en beauté. Stephane Nassurou, un des bénéficiaires de cette formation a salué la tenue de cette formation qui répond aux besoins du pays en matière de lutte contre le paludisme.

Le gouvernement Comorien mise beaucoup sur les méthodes de lutte contre le paludisme. Pour atteindre cet objectif, les microscopistes jouent un rôle important. L’évaluation externe des compétences des microscopistes spécialisés dans le paludisme est important pour mener à bien la lutte. Pour cela, deux semaines de formation sur l’évaluation externe des compétences est dédiée à 12 microscopistes.

« Nous remercions les initiateur de cette formation. Il s’agit d’une formation importante qui nous a permis d’acquérir beaucoup de connaissances », a déclaré Stéphane Nassurou, un des bénéficiaires de cette formation rappelant la nécessité de la formation dans la lutte engagée par le pays pour éradiquer le paludisme aux Comores.

La formation de douze microscopistes aura sans doute un impact significatif. Dr Hadjira, coordinatrice du projet paludisme a souhaité que les compétences acquises par les douze microscopistes soient mises en pratique et partagées au sein de leurs équipes. « Ensemble, nous avons le pouvoir de transformer ces enseignements en réalité tangibles qui amélioreront la santé de notre population », a-t-elle souligné.

La coordinatrice qui a représenté le directeur  général  de  la santé a tout de même remercié l’organisation  mondiale  de  la  santé qui s’engage à renforcer la capacité des équipes de santé et améliorer les outils de diagnostic disponible sur terrain.

A la fin de la formation, plusieurs attestations ont été décernées aux bénéficiaires en signe de reconnaissance et d’engagement dans la lutte contre cette épidémie aux Comores.

Kamal Said Abdou

Guo Zhijun, ambassadeur  de la République  Populaire  de Chine aux Comores a été reçu hier en audience par le ministre de la Santé et de la protection sociale, Dr Nassuha Oussene Salim. Le jumelage de l’hôpital de la région de Guangxi en Chine et celui de l’Amitié Comoro-Chinoise de Bambao Mtsanga aux Comores, l’éradication de l’épidémie du paludisme aux Comores surtout sur l’île de Ngazidja et les travaux de finition d’El-Maarouf ont été au menu des échanges.

La coopération entre la Chine et les Comores dans le domaine de la santé s’est intensifiée ces dernières années, répondant aux besoins croissants en matière de soins de santé et de développement médical du pays. En répondant aux besoins pressants des Comores, elle pourrait contribuer à transformer le paysage sanitaire du pays et à améliorer la qualité de vie de ses habitants.

Au cours d’une réception au ministère de la santé, le ministre de la santé vise à renforcer, à moderniser et à personnaliser la coopération entre les deux pays dans le secteur sanitaire. Ainsi, la partie médicale chinoise prévoit de dédier à la population comorienne de Mohéli une journée de consultation bénévole le lundi 21 octobre 2024.

Les efforts conjoints de la Chine dans le secteur  de la santé sont essentiels pour bâtir un avenir plus sain et résilient. La coopération porte sur des programmes de vaccination pour lutter contre les épidémies et améliorer la santé publique aux Comores. La Chine a fourni des vaccins et des médicaments pour des maladies endémiques notamment le paludisme. La Chine a déployé des équipes médicales aux Comores, offrant des services de santé dans des domaines tels que la chirurgie ou la lutte contre le paludisme. Ces équipes médicales Chinoises non seulement traitent les patients, mais assistent également le personnel médicale du pays.

Kamal Saïd Abdou

L’université des Comores a reçu, hier mardi, un lot d’équipements d’enseignement pédagogique et didactique notamment des ordinateurs fixes, vidéos projecteurs, onduleurs et imprimantes de valeur de 53. 928. 112 kmf par l’Agence française de développement. Lors de cette remise officielle, Ibouroi  Ali Tabibou, administrateur  de l’université des Comores a rappelé l’importance de ces équipements dans la contribution pour une formation efficace et de qualité de cet établissement.

L’Agence française de développement (AFD) a remis un lot d’équipements d’enseignement  à l’Université des Comores. Il s’agit d’équipements pédagogique  et didactique destinés à améliorer les conditions d’enseignement et d’apprentissage. Les équipements fournis comprennent des ordinateurs fixes et portables, onduleurs,  deux kits de visioconférence, vidéo projecteurs,  dispositif de téléconférence, imprimantes, micro standard et autres. Selon le communiqué de presse du ministère de la santé, ces équipements contribueront à créer un environnement d’apprentissage  propice à l’acquisition des compétences  nécessaires pour répondre aux besoins sanitaires croissants du pays.

L’Université des Comores étant un vecteur clé pour l’émergence du pays, via son administrateur de l’université a remercié les efforts engagés par l’Agence française de développement au profit des Comores. Émettant un souhait, Ibouroi  Ali Tabibou a réitéré sa demande de réhabilitation de l’école de médecine et de santé publique.

« Ces bâtiments qui ont accueilli des générations d’étudiants, ont besoin d’être modernisés pour offrir des conditions d’étude et de travail digne de ce nom », a-t-il indiqué. La remise de lots symbolise une étape clé dans le processus de renforcement des capacités de formation des futurs professionnels de la santé aux Comores. Par cette occasion, Ibouroi Ali Tabibou a réaffirmé l’engagement de l’université à former des professionnels de la santé de haut niveau, capables de relever les défis sanitaires aux Comores.

Kamal Said Abdou

Au cours d’un atelier ouvert hier jusqu’au 18 octobre prochain au Pnlp, Dr Nassur, directeur de la santé a rappelé que la microscopie reste encore la méthode de référence standard pour un meilleur diagnostic du paludisme dans le monde. Cet atelier de formation sur l’évaluation externe des compétences des microscopistes dans le paludisme à réuni 12 talentueux des trois îles indépendantes.

L’évaluation externe des compétences des microscopistes spécialisés dans le paludisme aux Comores est une démarche essentielle pour améliorer la qualité des diagnostics et, par conséquent, l’efficacité des interventions de santé publique.

Pour Dr Nassur, l’efficacité de l’examen microscopique du paludisme dépend du maintien d’un niveau élevé de compétence et de performance du personnel, de la garantie de réactifs et d’équipements de bonne qualité à tous les niveaux et d’une évaluation externe régulière.

« C’est dans ce cadre que cette formation est organisée pour renforcer les compétences sur les bonnes pratiques de laboratoire […] les compétences  techniques nécessaires pour mener des formations et des visites de supervisions », a expliqué Dr Nassur.

12 microscopistes des trois régions et du niveau central sont les bénéficiaires de cette formation.

Selon Dr Nassur, cette initiative répond l’engagement du pays à atteindre zéro cas de paludisme d’ici 2025.  Dans la lutte contre le paludisme, le ministère de la santé a engagé des actions et la formation des microscopistes demeure une priorité. « Les microscopistes jouent un rôle essentiel dans cette lutte, car leur expertise et leur précision sont déterminantes pour la détection et le traitement rapide des cas de paludisme », a déclaré le directeur général de la santé.

A travers les efforts concertés, du ministère  de la santé, « nous engageons à améliorer la qualité des soins et à renforcer les capacités de notre personnel de santé en particulier dans le domaine crucial des diagnostics parasitaires », précise-t-il. En misant sur la formation des microscopistes, le pays fait un pas vers un avenir où le paludisme sera une ombre du passé.

Kamal Said Abdou

L’association Comorienne contre le cancer chez la femme a lancé officiellement ses activités pour l’octobre rose. En conférence de presse au Retaj, cette association a fait appel à se faire dépister car le cancer détecté à un stade précoce, peut être guéri dans plus de 9 cas sur 10.

L’Accf, depuis sa création a réalisé beaucoup dans la prise en charge des patientes, les évaluations sanitaires vers l’étranger et la mammographie. « En 6 ans, nous avons enregistré sur les 3 îles 2133 mammographies dont 1050 pris en charge par l’Accf. Ce qui représente 40,22% des examens réalisés pour un montant total de 17 569 800kmf », a déclaré Madame Zahara, présidente de l’Accf.

L’association bien qu’elle travaille au profit de la population n’a jusqu’à maintenant un siège, elle ne bénéficie que des subventions des personnes privées et ceux qui travaillent sont dans le bénévolat. « Cela fait 2 ans que l’association a accompagné une malade pour l’obtention de l’Evasan vers Maurice. Malgré notre appui dans l’achat de son billet, elle n’a pas été en mesure d’assurer à ce jour, les frais de subsistance en dehors de l’hôpital. Nous réitérons donc notre appel pressant aux pouvoirs publics pour la prise en charge des soins des malades et l’application effective de la convention sanitaire », appelle la présidente de l’Accf.

6ans au service des nécessiteux, l’Accf a maintenant engagé des négociations avec des centres d’imagerie médicales à Anjouan et Ngazidja pour réduire le coût. Selon la présidente, à Anjouan le dépistage est de 15 000kmf et Ngazidja c’est 17 500kmf. Pour l’édition de cette année, l’Accf prévoit une série d’activités notamment sportives, musicales et des rencontres dans les villes et villages pour la sensibilisation.

Le samedi 26 octobre prochain, une soirée de gala parrainée par Rotary Club sera organisée et les fonds seront versés aux personnes nécessitant une prise en charge médicale ou une évacuation sanitaire.

Kamal Said Abdou

Du 30 septembre au 4 octobre prochain, le ministère de l’agriculture organise un atelier de formation sur la conscientisation des acteurs de la filière avicole à la résistance aux antimicrobiens RAM avec l’appui du SANOI. Un programme de la COI, visant à améliorer les capacités nationales et régionales de production agro-alimentaire, de valorisation commerciale des filières et de respect des normes phytosanitaires.

Un atelier de formation sur la conscientisation des acteurs de la filière avicole à la résistance aux antimicrobiens RAM se déroule à l’hôtel le Retaj. Avec l’appui du SANOI, c’est un programme de la COI ayant pour but d’améliorer les capacités nationales et régionales de production agro-alimentaire, de valorisation commerciale des filières et du respect aux normes phytosanitaires. La résistance aux antimicrobiens est un problème global qui touches plusieurs pays, tous les secteurs et toutes les couches sociales. Elle représente une menace non seulement sur la santé humaine mais aussi pour la santé animale et environnementale.

Les infections résistantes peuvent entraîner des traitements prolongés, des coûts de soins de santé accrus et des décès évitables. À l’ouverture de l’atelier, Ahamada Djoubeir, secrétaire général adjoint du ministère de l’agriculture a souligné les progrès significatifs que les antimicrobiens ont effectué dans le traitement des infections humaines et animales. « Nous témoignons les progrès considérables que les antimicrobiens, tels que les antibiotiques, ont permis de réaliser dans le traitement des infections humaines et animales. Cependant, leur utilisation excessive et parfois inappropriée a conduit à un phénomène inquiétant : l’apparition des bactéries, virus, champignons et parasites, capables de résister à ces traitements », a fait savoir Ahamada Djoubeir.

Par ce principe, l’atelier de formation a prévu donc des séances de discussions et d’échanges sur les bonnes pratiques d’utilisation des antimicrobiens, des politiques de prévention des infections, de la surveillance de la résistance et des approches alternatives. L’occasion pour les participants d’avoir une avancée significative scientifique et les recommandations internationales afin que chaque participant puisse repartir avec des solutions pratiques et des idées innovantes pour agir dans son secteur.

Abdoulandhum Ahamada

La Journée internationale du pharmacien est célébrée le 25 septembre de chaque année. Cette journée vise à mettre en avant le rôle essentiel des pharmaciens dans le secteur de la santé, notamment leurs contributions à la promotion de la santé publique et à l’amélioration de l’accès aux médicaments. Pour des raisons de timing, les Comores ont célébré cette journée, le samedi 28 septembre dernier à Moroni.

Aux Comores, comme dans d’autres pays, la journée mondiale du pharmacien peut servir d’occasion pour sensibiliser la population sur les services offerts par les pharmaciens, ainsi que pour promouvoir des initiatives de santé et des formations professionnelles pour les pharmaciens.

À cette occasion, les Comores ont célébré cette journée, samedi dernier, à Moroni en présence des autorités gouvernementales et des pharmaciens. Lors de son intervention, le ministre de l’économie, Moustoifa Hassani Mohamed, qui a parlé au nom du ministre de la santé, a annoncé le rôle fondamental des pharmaciens. Il a loué au passage l’engagement et le professionnalisme des pharmaciens en termes de réception des médicaments et d’orientation des patients.

« Nous connaissons le rôle fondamental des pharmaciens qui déploient leurs efforts pour la demande et la réception des médicaments au bon moment. Cela nécessite non seulement des compétences techniques mais également des notions pharmaceutiques pour pouvoir fournir des informations aux patients », a indiqué le ministre de l’économie. Et de poursuivre : « l’accessibilité facile des médicaments à haute qualité et à moins coût appuie sans doute la démarche des soins de haute qualité au profit des patients ».

Pour la vigilance et la protection de la santé de la population, le ministre appelle tous les citoyens à utiliser seulement des médicaments prescrits par les pharmacies agréées par l’État. « Je demande à la population d’utiliser uniquement des médicaments prescrits par les pharmacies agréées par les autorités compétentes pour éviter l’usage des faux médicaments et de qualité inférieure et mal conservée qui constituent un danger réel pour la santé », a-t-il sollicité. 

Abdoulandhum Ahamada

Le ministère de la santé a organisé, hier mardi, une réunion d’échanges avec les médecins chefs et les agents de santé communautaire. Le pays réfléchit sur le renforcement de sécurité des zones portuaires et aéroportuaires. Des mesures préventives pour la lutte contre la variole simienne en Union des Comores sont prises.

Alors que la variole du singe se propage très rapidement en Afrique, de nombreux pays essaient dès maintenant de s’en prémunir. Dans le Sud-Ouest de l’océan indien, seule l’île de la Réunion a déclaré des cas dès le mois de juin. Mais cela n’empêche pas les autres pays de la région de se mobiliser en prenant des mesures de prévention, avant qu’il ne soit pas trop tard.

Les Comores prennent ce menace au sérieux. Sous le leadership du nouveau ministre de la santé, une réunion d’échanges a eu lieu, hier mardi, pour réfléchir sur « les mesures préventives contre la variole du singe en Union des Comores ». Cette dernière a vu la participation des médecins chefs et les agents de santé communautaire.

D’ailleurs, certains pays de l’Afrique de l’Est sont frappés, de plein fouet, par une recrudescence des cas de variole simiesque. Les Comores se préparent déjà, en amont, à la lutte contre cette maladie. Tenant compte, par expérience, des nombreux cas de coronavirus importés en provenance des pays voisins. Une maladie qui a coûté la vie de plus de 146 comoriens.

Lors de cette rencontre, le ministre de la santé, Dr Nassuha Oussene Salim veut sensibiliser la population sur le Monkeypox, mais aussi sur la « mobilisation des équipes pour la surveillance et la supervision des ports et aéroports du pays ». Faisant suite à cette proposition, le directeur de la promotion de la santé, Saïd Ali Ahmed a rassuré les participants, la « mise en place des comités villageois et communautaires, composés par des agents de santé communautaire et des chefs de villages ».

Abdoulandhum Ahamada

Le gouvernement comorien avec l’appui de la commission de l’océan indien (COI) a mis en œuvre une campagne de vaccination contre la fièvre aphteuse. Les agents de la filière élevage ont donc bénéficié d’une formation sur la vaccination dans l’île de Ngazidja. La campagne de vaccination contre cette épidémie débute ce lundi selon les zones identifiées.

L’épidémie de fièvre aphteuse sévit sur l’île de Mohéli depuis avril 2019. Cette maladie extrêmement contagieuse affecte principalement le gros bétail et pourrait avoir de graves conséquences sur la productivité des animaux, notamment, en lait, force de travail et viande. Cette maladie affecte la productivité des petits ruminants considérés comme des filières prioritaires pour le pays. Cette maladie menace de se propager dans l’archipel des Comores et dans la région de l’Océan indien.

En effet, le gouvernement comorien, à travers le ministère de l’agriculture, et avec l’appui de la COI lance une campagne de vaccination contre cette épidémie dans l’île de Ngazidja. Les agents de la filière élevage sont outillés, la semaine dernière, sur la vaccination aphteuse, à titre préventif, sur l’île de Ngazidja. La campagne de vaccination débute aujourd’hui concernant les zones identifiées par le service d’élevage.

À titre de rappel, en 2020, le réseau d’épidémiologie des maladies animales aux Comores (RENESMAC) avait eu à enregistrer 784 cas et 56 morts. Les prélèvements réalisés au chevet des bovins malades et analysés au laboratoire l’ont confirmé. À Mohéli, la première campagne de vaccination a enregistré 11 945 animaux vaccinés dont 4130 bovins, 7815 petits ruminants dont 300 ovins. La seconde vaccination a enregistré 6810 animaux dont 2717 petits ruminants.

Abdoulandhum Ahamada

Le Mpox appelé avant, variole du singe a déjà d’ores et déjà touché plusieurs pays en 2022. En Afrique, cette maladie continue à faire des victimes. L’île de la  Réunion, située à quelques kilomètres des Comores a déjà enregistré des cas. En effet, devant la presse, samedi dernier, le ministère de la santé a annoncé avoir pris cette menace au sérieux en renforçant la sécurité aux frontières.

Des cas de cette maladie ont déjà été détectés à la Réunion, une île située à quelques kilomètres des Comores. Bien qu’aucun cas n’ait détecté dans le pays, le ministre de la santé compte renforcer la sécurité aux frontières. Le Mpox appelé avant, variole du singe a déjà circulé au niveau mondial en 2022.

En Afrique, cette maladie continue à faire des victimes. « La menace est réelle et notre pays ne peut pas rester les bras croisés », a déclaré Dr Ben Imane, secrétaire général au ministère de la santé. Le gouvernement par l’intermédiaire du ministère de la santé s’est penché sérieusement sur la question et une réunion multisectorielle s’est effectuée, et « des mesures ont été prises pour limiter les risques, assurer un diagnostic correct de la maladie, éviter la propagation et éduquer la population », a fait savoir le secrétaire général.

Quelques mesures sont d’ores et déjà prises notamment le déploiement d’équipes sanitaires aux points d’entrée et au niveau des points de passage portuaires et aéroportuaires. A en croire le secrétaire général, ces équipes sont chargées de contingenter les flux de passager venant de l’étranger, de les sérier, de détecter les cas avérés ou suspects et de faire une veille épidémiologique par des suivis câblés. 

Aussi, doter le pays des moyens sûrs et fiables de diagnostic permettant en instantané d’affirmer ou infirmer les cas de variole de singe. A entendre Dr Ben Imane, les laboratoires ont été désignés au niveau national avec des kits de tests en conséquence. « Le gouvernement garde l’alerte et se tient prêt pour prévenir mais aussi pour contenir un éventuel cas », précise Dr Ben Imane. Selon lui, ces mesures de prévention et de recherche diagnostics vont accompagner de préparations de site d’accueil et d’isolement éventuel.

Kamal Said Abdou