ALFAJR QUOTIDIEN – Journal d'information quotidien comorien

Journée internationale de la paix : La paix « une grande richesse à conserver »

L’Unfpa et Afriyan-Comoros ont, hier, 21 septembre 2020,  célébré la journée internationale de la paix. Une occasion nette de relayer différentes thématiques relatives à la paix et à la sociabilité du pays. La paix en soi, la paix et la justice et la paix et l’Islam étaient les principales thématiques abordées. Selon les conférenciers, la paix dans la société civile n’a pas de prix, « c’est une grande richesse à conserver. »

Suivant le 21 septembre, journée mondiale de la paix, les responsables des Ongs Unfpa et Afriyan-Comoros ont organisé une conférence basée sur la paix en soi, la paix et la justice et la paix et l’Islam. Selon les objectifs des ODD, la paix occupe la seizième place. « Pour le développement durable, la paix occupe la seizième place parmi les dix-sept programmes cités. C’est pourquoi nous célébrons cette journée internationale de paix dans le monde », a indiqué l’administrateur à l’assemblée nationale, David Palmer.

Concernant la thématique de la paix en soi, David Palmer a précisé que l’être humain qui n’a pas de foi en soi va commettre un grave péché devant son prochain. « Si tu n’as pas la foi en soi, tu risques de détruire ton prochain. Les pays qui sont tombés en guerre ne possèdent pas de tranquillité spirituelle et physique. Donc les Ongs Salam, Afriyan-Comoros, Lamha réclament la paix et la stabilité de paix », a-t-il affirmé.

Selon David Palmer, les Ongs se sont procédés à des décentes sur terrain pour réclamer la paix et la tranquillité dans différentes cérémonies collectives. « Nous avons fait plusieurs décentes constructives sur les difficultés footballistiques et de quartiers. On ne tient pas compte aux réclamations politiques. On réclame la paix selon nos concepts et nos statuts. Le réseau se désengage des manifestations purement politiques », a-t-il insisté, avant de préciser que « dans le côté social, la notion paix commence à perdre sa valeur car les jeunes s’accrochent à l’alcoolisme, à l’escroquerie selon le comportement des enfants. Nous voulons une éducation civique, une main d’œuvre abondante et une vie meilleure, vie professionnelle au service du pays ».

Abdoulandhum Ahamada

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